Déjà, au milieu du XIXe siècle, alors que la bourgeoisie urbaine bretonne avait abandonné la langue, certains observateurs en mal d’exotisme pensaient déjà côtoyer les derniers locuteurs bretons. Après un siècle d’inexorable déclin de la langue, le « breton » est têtu et n’a pas prononcé son dernier souffle.