Au début il y a la parole du père. Celle qu’on écoute, qu’on croit, qu’on n’ose interrompre. Il y a le silence que la parole impose. Puis vient la parole du fils face à la mère, face à celle qui ne dit rien. Une parole emplie d’affirmation, un torrent de mots. Au final, il y a ce père qui a tout dit et cette mère qui s’est tue.
Avec : Nathalie Royer
Texte : Jean Lambert-Wild
Mise en scène : Michel Bruzat
Scènographie, décor : Vicnent Grelier
Lumières : Franck Roncière
Costumes : Dolores Alvez Bruzat
Construction décor : Alain Pinochet
Co-production La Reine blanche – Les Déchargeurs / Le Pôle diffusion et Théâtre de l’Union,
Centre dramatique national du Limousin, en accord avec le Théâtre de la Passerelle.