Objet(s) d'échange s'organise comme une discussion, un échange de points de vue, une réflexion partagée.
"Coeff 115", "In white out", "Intervalle" et "éclipse" forment le premier volet de cette correspondance.
L'échange se matérialise autour de la question du temps et de la disparition. ReceVOIR ces objets et y lire le présent, ne plus imaginer ce qui a précédé ce moment , ni anticiper ce qui se passera après ce moment .
Les images contemplatives nous parlent du lointain, du proche, nous forcent à l'observation, on y décèle un présent immédiat sans début ni fin. Le son ajoute la question du temps comme cycle, il est hors anecdote et s'inscrit aussi dans cette idée de relativité. Le temps et le mouvement sont au coeur de cette proposition et une troisième voix se fait entendre comme une envie d'arrêt sur image. Une image qui semble ralentie puis qui finit par nous échapper, c'est la disparition. Le temps est suspendu.
La correspondance questionne aussi ce rapport au temps, la tradition épistolaire évoque forcément une lenteur qui est effacée par l'immédiateté que permettent les outils actuels de communication et finalement on comprend que ce premier volet n'est qu'une amorce de réflexion, que d'autres objet(s) d'échange s'ajouteront et que peut-être avec le nombre, ce premier essai s'effacera, disparaîtra...
Objet(s) d'échange s'organise comme une discussion, un échange de points de vue, une réflexion partagée.
"Coeff 115", "In white out", "Intervalle" et "éclipse" forment le premier volet de cette correspondance.
L'échange se matérialise autour de la question du temps et de la disparition. ReceVOIR ces objets et y lire le présent, ne plus imaginer ce qui a précédé ce moment , ni anticiper ce qui se passera après ce moment .
Les images contemplatives nous parlent du lointain, du proche, nous forcent à l'observation, on y décèle un présent immédiat sans début ni fin. Le son ajoute la question du temps comme cycle, il est hors anecdote et s'inscrit aussi dans cette idée de relativité. Le temps et le mouvement sont au coeur de cette proposition et une troisième voix se fait entendre comme une envie d'arrêt sur image. Une image qui semble ralentie puis qui finit par nous échapper, c'est la disparition. Le temps est suspendu.
La correspondance questionne aussi ce rapport au temps, la tradition épistolaire évoque forcément une lenteur qui est effacée par l'immédiateté que permettent les outils actuels de communication et finalement on comprend que ce premier volet n'est qu'une amorce de réflexion, que d'autres objet(s) d'échange s'ajouteront et que peut-être avec le nombre, ce premier essai s'effacera, disparaîtra...
Objet(s) d'échange s'organise comme une discussion, un échange de points de vue, une réflexion partagée.
"Coeff 115", "In white out", "Intervalle" et "éclipse" forment le premier volet de cette correspondance.
L'échange se matérialise autour de la question du temps et de la disparition. ReceVOIR ces objets et y lire le présent, ne plus imaginer ce qui a précédé ce moment , ni anticiper ce qui se passera après ce moment .
Les images contemplatives nous parlent du lointain, du proche, nous forcent à l'observation, on y décèle un présent immédiat sans début ni fin. Le son ajoute la question du temps comme cycle, il est hors anecdote et s'inscrit aussi dans cette idée de relativité. Le temps et le mouvement sont au coeur de cette proposition et une troisième voix se fait entendre comme une envie d'arrêt sur image. Une image qui semble ralentie puis qui finit par nous échapper, c'est la disparition. Le temps est suspendu.
La correspondance questionne aussi ce rapport au temps, la tradition épistolaire évoque forcément une lenteur qui est effacée par l'immédiateté que permettent les outils actuels de communication et finalement on comprend que ce premier volet n'est qu'une amorce de réflexion, que d'autres objet(s) d'échange s'ajouteront et que peut-être avec le nombre, ce premier essai s'effacera, disparaîtra...